 Après avoir réhabilité la figure de Salieri et tandis qu’un Cherubini est en préparation, notre confrère Marc Vignal fait paraître, toujours chez Bleu Nuit, un Vaughan Williams, première étude biographique publiée en français sur l’un des plus grands symphonistes du siècle dernier. Au fil des pages qu’agrémente une iconographie savoureuse se dessinent à la fois une personnalité attachante, d’une grande intégrité morale durant les deux conflits mondiaux, et un compositeur d’envergure qui sut transcender le matériau populaire dont il s’était inspiré pour acquérir son style propre, lequel allait donner une nouvelle impulsion à la musique anglaise. Puissent les directeurs de salles et les chefs d’orchestre donner un écho favorable à cet ouvrage en programmant – enfin – sa musique !
Après avoir réhabilité la figure de Salieri et tandis qu’un Cherubini est en préparation, notre confrère Marc Vignal fait paraître, toujours chez Bleu Nuit, un Vaughan Williams, première étude biographique publiée en français sur l’un des plus grands symphonistes du siècle dernier. Au fil des pages qu’agrémente une iconographie savoureuse se dessinent à la fois une personnalité attachante, d’une grande intégrité morale durant les deux conflits mondiaux, et un compositeur d’envergure qui sut transcender le matériau populaire dont il s’était inspiré pour acquérir son style propre, lequel allait donner une nouvelle impulsion à la musique anglaise. Puissent les directeurs de salles et les chefs d’orchestre donner un écho favorable à cet ouvrage en programmant – enfin – sa musique !
Le projet m'est arrivé par hasard, si l'on peut croire que« les hasards ne sont pas lesalibis de la Providence », comme disait Cocteau.
 Critique musical sur le site musebaroque, membre du Bureau de la PMi, en charge de la page Facebook, Pedro Octavio Diaz a été amené tout naturellement à s’intéresser à l’opéra comme moyen de communication et de pression diplomatique. Son article intitulé « La Paix des rois, l’ordre des empereurs et les feux de la rampe : aperçu historique de trois siècles de diplomatie opératique » a été publié récemment aux Presses universitaires de Rennes dans le cadre d’un hommage collectif rendu à l’historien Jean-Pierre Bois, anciennement professeur à l’université de Nantes. Jérémie Bigorie lui a posé quelques questions.
Critique musical sur le site musebaroque, membre du Bureau de la PMi, en charge de la page Facebook, Pedro Octavio Diaz a été amené tout naturellement à s’intéresser à l’opéra comme moyen de communication et de pression diplomatique. Son article intitulé « La Paix des rois, l’ordre des empereurs et les feux de la rampe : aperçu historique de trois siècles de diplomatie opératique » a été publié récemment aux Presses universitaires de Rennes dans le cadre d’un hommage collectif rendu à l’historien Jean-Pierre Bois, anciennement professeur à l’université de Nantes. Jérémie Bigorie lui a posé quelques questions. Membre du Bureau de la PMi, fervent et éminent berliozien, Pierre-René Serna apporte une note discordante à l'aube d'une année Wagner riche en publications : son Anti-Wagner sans peine, pamphlet à l'encontre du maître de Bayreuth placé sous les auspices de Nietzsche, charrie dans un style alerte et jubilatoire « arguments fondés, sans ambages souvent, nuancés parfois, mais également un brin de parti pris et un grain de mauvaise foi ». Cette pierre jetée dans le jardin sacré des Filles-fleurs méritait quelques explications ...
Membre du Bureau de la PMi, fervent et éminent berliozien, Pierre-René Serna apporte une note discordante à l'aube d'une année Wagner riche en publications : son Anti-Wagner sans peine, pamphlet à l'encontre du maître de Bayreuth placé sous les auspices de Nietzsche, charrie dans un style alerte et jubilatoire « arguments fondés, sans ambages souvent, nuancés parfois, mais également un brin de parti pris et un grain de mauvaise foi ». Cette pierre jetée dans le jardin sacré des Filles-fleurs méritait quelques explications ...
En 2008, soit deux ans après la publication de Berlioz de B à Z, on me fit commande d'un texte sur La Generala d'Amadeo Vives alors programmée au Châtelet. L'idée me trottait déjà dans la tête, depuis une série d'émissions « Le Matin des musiciens » que j'avais produite sur France Musique et qui avait obtenu un succès considérable (plus de deux cents lettres enthousiastes d'auditeurs !), de consacrer tout un livre à la zarzuela destiné au mélomane francophone. Ce programme pour le Châtelet a alors été le déclencheur. J'ai hésité sur la forme : plutôt qu'un pesant historique, où le lecteur non hispanophone se perdrait, j'ai pensé qu'un abécédaire offrait l'avantage de pouvoir puiser, picorer, rechercher rapidement une information. « De Z à A » permettait, outre le clin d'œil, de tracer d'entrée de jeu le sujet dans ses grandes lignes : rapide présentation, style, historique, chronologie, caractéristiques vocales.